L'initiation chrétienne
Baptême - Communion - Confirmation
Processus par lequel une personne devient chrétienne et membre de l’Église par la réception des trois sacrements dits sacrements d’initiation : le baptême, la confirmation et l’eucharistie. Cette initiation suppose différents seuils de préparation, de formation et de célébrations liturgiques et d’accompagnement. Les adultes qui se préparent aux sacrements de l’initiation s’appellent catéchumènes. La personne qui reçoit ces sacrements est introduite dans la vie de Dieu : Père, Fils et Saint-Esprit.
Vivre sacrements de l'engagement
Les sacrements de guérison
« La foi du seul lépreux qui…va immédiatement remercier Jésus pour lui manifester sa reconnaissance, laisse deviner que la santé retrouvée est le signe de quelque chose de plus précieux que la simple guérison physique, c’est le signe du salut que Dieu nous donne par le Christ, confirmée par les paroles du Christ: Ta foi t’a sauvé.
Celui qui dans la souffrance et la maladie invoque le Seigneur peut être sûr que son amour ne l’abandonnera jamais et que l’amour de l’Église, qui prolonge dans le temps ses œuvres salvifiques, ne manquera pas non plus. La guérison physique, expression du salut le plus profond, révèle ainsi l’importance que l’homme, compris dans son intégrité d’âme et de corps, acquiert aux yeux du Seigneur… Le lien entre santé physique et guérison des maux de l’âme nous aide donc à mieux comprendre les sacrements de guérison ». Le sacrement de la réconciliation « nous rend à la grâce de Dieu et nous unit à lui dans une profonde amitié… Dieu, riche en miséricorde, comme le père de la parabole évangélique, ne ferme son cœur à aucun de ses fils, mais il les attend, il les cherche… Le moment de la souffrance, au cours duquel pourrait naître la tentation de s’abandonner au découragement et au désespoir, peut ainsi se transformer en temps de grâce pour rentrer en soi-même, Et, comme le fils prodigue de la parabole, de réfléchir sur sa vie, en reconnaissant erreurs et échecs, de ressentir la nostalgie de l’union au Père et de parcourir à nouveau le chemin vers sa demeure. Lui, dans son grand amour, toujours et de toute façon, veille sur notre existence et il nous attend pour offrir à chaque fils qui rentre chez lui, le don de la pleine réconciliation et de la joie ». (message du pape Benoît XVI pour la Journée mondiale du malade 2012)
Les funérailles
La cérémonie des obsèques religieuses n’est pas un sacrement.
L’équipe funérailles accueille la famille avec ses peines, ses doutes et l’aide à tourner son regard et son cœur vers le Christ ressuscité. Ensemble nous voulons témoigner de la foi et de l’espérance de l’Eglise au cours d’une célébration simple, digne et respectueuse.
Le rôle de la famille dans les obsèques est important si elle accepte de participer : allumer les cierges qui entourent le cercueil, lire les lectures, proposer des intentions de prière, donner un témoignage sur le défunt. La participation de la famille donne aussi une richesse, une « densité » à la célébration.
Lorsqu’un deuil touche une famille, celle-ci prend contact avec la société de pompes funèbres de son choix qui se mettra d’accord avec la paroisse pour fixer le jour et l’heure de la célébration. Puis les membre de l’équipe funérailles, selon sa disponibilité, rencontrera la famille du défunt en vue de préparer la célébration des funérailles religieuses.
